jeudi 29 novembre 2007

Ca roule !

Chaque soir différent
La fatigue s'évanouit, le plaisir monte !
on suit chaque soir les instructions du big cheef
et on ne sait jamais vraiment où on va
Mais ça le fait !
et une video sur recmag.com !
http://www.recmag.com/recmagspip/sommaire.php3?etat=actu&id_article=165&id_rubrique=999
Ca rend bien !
Dommage plus que 4 !

lundi 26 novembre 2007

La bulle !

Hier dimanche, le meilleur cru selon Gregoire.
Filmés par je ne sais quel site lyonnais ( à suivre )
Beaucoup de sensibilité, d'émotion qui passe.
Public enthousiaste.
Reste à gérer l'énergie jusqu'au bout
et profiter de cette montée en puissance, sans déperdition.
Aujourd'hui relâche dans ma robe de chambre rose en moquette, je regarde une émission sur Peter Sellars, génial enfant terrible, qui donne à Mozart tout son humaniste et sa modernité. Donc je me régale !
Quelques courses alimentaires, un hamam, et sans doute une répet publique de la Celestine à la Croix Rousse.
Y a plus malheureux !
Par exemple, moi demain et après demain : boulot, théâtre, dodo, boulot théâtre, dodo...
Ca va le faire !

samedi 24 novembre 2007

Clap!clap!clap!

Bon cru hier soir !
Drôle de vie, quand on joue tous les soirs !
Complètement décalée !
Lever tard, manger tard, économie d'énergie,
et à partir de 5 heures, entrée dans l'arène,
le marathon commence
Sortie de l'arène au moment d'aller dormir, mais pas sommeil
Enclenche 2°soirée, détente, coucher tard.
Ca doit ressembler un peu au mode de vie d'un athlète.
Ce matin, insomnie, lever trop tôt, sieste en vue !

vendredi 23 novembre 2007

Hernani !




Bon j'exagère un peu...
Mais hier soir c'était chaud !
Je savais qu'il y aurait un choc Bernard
Tout oppose ces 2 là ,sauf la passion du spectacle
J'ai bien vu qu'ils auraient pu s'affronter jusqu'au bout de la nuit
ils se sont provoqués, ils en ont rajouté,
Presque le même Bernard qu'à la sortie de "Sur les valises" d'Anokh Levin, sous les chataigners médusés !
Cette fois, j'étais concernée et j'ai fui, pour ne pas être déchirée
Petit Grégoire face à papa Bernard.
Le petit est assez grand pour se donner lui-même des leçons, à force d'écoute, de curiosité et de remise en question.
J'ai vu les larmes de C... à la fin du spectacle, touchée pour la 2°fois
J'ai entendu avec bonheur les retours positifs et des remarques pertinentes
d'Irène :
A lâché lorsque la mère est sur les genoux de la plus vieille
le jeu se faisant entre nous deux, du fond de la scène
Me tenir droite derrière la mère au lieu d'essayer de disparaitre en me recroquevillant
Magnifique la scène finale, donne forcément envie d'applaudir.
Texte très poétique, belles interprétations, badabada, badabada...
Bref, tout ça ne laisse pas indifférent et c'est heureux !
Comme dirait Bernard, c'est tellement mieux que quand on s'emmerde sur son fauteuil !
Et en fait, pour l'avoir eu au téléphone ce matin, il s'est bel et bien laissé embarquer dans cette histoire, a aimé l'écriture, l'esthétisme, la qualité du travail, l'imaginaire...
Il n'empêche que je note sur un carnet les retours (positifs et négatifs) que l'on veut bien me faire; n'hésitez pas !






samedi 10 novembre 2007

Chronique d'un samedi matin


L'automne est bien installée, à travers la brume, les feuillages jaunes, roux, le bruit des voitures, j'ai froid aux pieds malgré mes pantoufles Giesswein, le must du cocooning...
Normal, j'ai ouvert la fenêtre, écoutant les mises en garde médiatiques : les appartements sont pollués ! j'aère ! le clocher sonne la demie.
Je viens de bavasser avec Shanghaï grâce à la technique moderne
Je soigne ma famille, mes amis, et ma petite santé
Je veille de loin à mon portefeuille, et je m'inquiète pour la terre

J'ai rêvé que je perdais une plaque de cheveux, du côté droit de mon crâne
Obligée de camoufler le trou avec la mêche du dessus... Etonnant, non ?

Après l'atterrissage du vendredi soir, la léthargie du samedi matin, étape necessaire à une reconstitution en 48h chrono, pour redémarrage lundi matin

Des écheances approchent :
A 10 jours de la première ( j'étais dans ma maison )
A 40 jours de Noël
A 50 jours de Croix Rousse /Pekin/shanghaï /Croix Rousse

Drôle d'état où les tensions s'installent dans le corps et dans la tête,
nécessaire obsession
Je rabache mon texte plus lentement, en prononçant toutes les syllabes, comme font les vieux
Je n'en suis plus nulle part et pourtant, je sais que ma tête travaille pour moi.
Je ne suis pas inquiète.




dimanche 4 novembre 2007

Mika

Ce garçon a tout pour lui !

Petites histoires infinies