dimanche 28 janvier 2007

Retour des Indes




Me voilà de retour de tout là-bas, des images plein la tête...
Je flotte un peu, aucune envie de revenir vraiment sur terre
La bas, c'est tout à la fois, splendeur et misère, et tout et tout !
Magique.
Bon je vais tâcher de faire un lien avec mon album de photos , histoire que tout le monde comprenne bien de quoi je parle !

Mais maintenant, au boulot ! il reste tout juste un mois avant la première de "j'étais dans ma maison "
vendredi soir : filage des 10 premières scènes.
Un peu flottant, chacune se demandait ce qu'elle devait faire dans les 2 minutes qui suivent
On devrait mettre des sous-textes, ça ferait un carton !
Mais ça va le faire, c'est sûr.
Les costumes sont prêts, la musique, pas encore mais presque, la pression monte, des réservations déjà
Y a plus qu'à !
Ouala !
C'était un coucou, je suis de retour !
Sarabande ? que fait Sarabande ? des stages avec les uns et les autres, à suivre...











mardi 2 janvier 2007

Repet : quand y en a plus y en a encore !

"J'étais dans ma maison..." Echeance fin février !
Alors on continue 2 fois par semaine.
Ce soir : essai costumes ( j'ai l'impression de ressembler à ma grand tante, genre armoire à glace)
Ca sera chouette
Et puis travail de la 7 couchés au sol, les sensations sont curieuses - écrasée par sa pesanteur, on fonctionne à minima et tout vient de dedans, au plus près, au plus intime.

Merci Grégoire !

lundi 1 janvier 2007

2007: l'hymne à la joie !

J'arrive de l'Auditorium où j'ai écouté la 9° symphonie de Ludwig Van.
chantée par le Choeur Symphonique de Birmingham.
Une pure merveille, surtout quand l'instrument et la voix se mélangent et se confondent.
Commencer l'année avec l'hymne à la joie est un privilège, que je voudrais partager :
Voici les paroles, pour la musique, il faudra imaginer...
Prenons en de la graine !

(traduction en dessous)

O Freunde, nicht diese Töne!
Sondern laßt uns angenehmere
anstimmen und freudenvollere.
Freude!
Freude, schöner Götterfunken
Tochter aus Elysium,
Wir betreten feuertrunken,
Himmlische, dein Heiligtum!
Deine Zauber binden wieder
Was die Mode streng geteilt;
Alle Menschen werden Brüder,
(original de Schiller :
Was der Mode Schwert geteilt;
Bettler werden Fürstenbrüder,)
Wo dein sanfter Flügel weilt.
Wem der große Wurf gelungen,
Eines Freundes Freund zu sein;
Wer ein holdes Weib errungen,
Mische seinen Jubel ein!
Ja, wer auch nur eine Seele
Sein nennt auf dem Erdenrund!
Und wer's nie gekonnt, der stehle
Weinend sich aus diesem Bund!
Freude trinken alle Wesen
An den Brüsten der Natur;
Alle Guten, alle Bösen
Folgen ihrer Rosenspur.
Küsse gab sie uns und Reben,
Einen Freund, geprüft im Tod;
Wollust ward dem Wurm gegeben,
und der Cherub steht vor Gott.
Froh, wie seine Sonnen fliegen
Durch des Himmels prächt'gen Plan,
Laufet, Brüder, eure Bahn,
Freudig, wie ein Held zum Siegen.
Seid umschlungen, Millionen!
Diesen Kuß der ganzen Welt!
Brüder, über'm Sternenzelt
Muß ein lieber Vater wohnen.
Ihr stürzt nieder, Millionen?
Ahnest du den Schöpfer, Welt?
Such' ihn über'm Sternenzelt!
Über Sternen muß er wohnen.
La section finale répète :
Freude, schöner Götterfunken
Tochter aus Elysium/
Seid umschlungen, Millionen!
Diesen Kuß der ganzen Welt!


Traduction
Mes amis, cessons nos plaintes !
Qu'un cri joyeux élève aux cieux nos chants
de fêtes et nos accords pieux !
Joie !
Joie ! Belle étincelle des dieux
Fille de l'Élysée,
Nous entrons l'âme enivrée
Dans ton temple glorieux.
Tes charmes relient
Ce que la mode en vain détruit ;
Tous les hommes deviennent frères
(original de Schiller :
Ce que l'épée de la mode sépare;
Les mendiants seront frères avec les princes)
Là où tes douces ailes reposent.
Que celui qui a le bonheur
D'être l'ami d'un ami ;
Que celui qui a conquis une douce femme,
Partage son allégresse !
Oui, et aussi celui qui n'a qu'une âme
Sur la terre !
Et que celui qui n'a jamais connu cela s'éloigne
En pleurant de notre cercle !
Tous les êtres boivent la joie
Aux seins de la nature,
Tous les bons, tous les méchants,
Suivent ses traces de rose.
Elle nous donne les baisers et la vigne,
L'ami, fidèle dans la mort,
La volupté est donnée au ver,
Et le chérubin est devant Dieu.
Heureux, tels les soleils volent
Sur le plan vermeil des cieux,
Courrez, frères, sur votre voie,
Joyeux, comme un héros vers la victoire.
Qu'ils s'enlacent tous les êtres !
Un baiser au monde entier !
Frères, au plus haut des cieux
Doit habiter un père aimé.
Tous les êtres se prosternent ?
Pressens-tu le créateur, Monde ?
Cherche-le au-dessus des cieux d'étoiles !
Au-dessus des étoiles il doit habiter.
La section finale répète :
Joie ! Belle étincelle des dieux
Fille de l'Élysée,
Soyez unis êtres par million !
Qu'un seul baiser enlace l'univers !

Petites histoires infinies