mercredi 11 avril 2007

La garce pour 4 jours !

4 jours sans autre souci que jouer et se prélasser !

Enfin, si tout va bien...jeudi complet, vendredi presque complet.
Hier, générale, un peu bizarre ( normal ?)
Un peu déconcentrée par le photographe ( mon meilluer profil ? non quand même pas, quoi que...) Et moins par la caméra, l'oeil familier de François ne m'a pas gênée.

Ceux qui se sont déplacés pour voir ont aimé apparemment.
Je crois que certains n'aimeront pas et c'est logique, si on considère le théâtre comme un seul divertissement où on se laisse porter par le sourire et le rire, sans dérangement.

Les autres vont adorer, enfin, si on est suffisamment bonne.

Toujours un doute salutaire.

Allez, une petite biographie de M.Lagarce :

Né à Héricourt (Haute-Saône) Jean-Luc Lagarce (1957-1995) est l'auteur dramatique contemporain le plus joué en France, et l'auteur le plus joué après Shakespeare et Molière, mais avant Racine et Tchekhov[1]. La simplicité de ses mots, la profondeur de sa pensée et l'originalité de sa syntaxe font de lui un écrivain classique contemporain. Ses textes font l'objet de multiples traductions et sont joués dans de nombreux pays.

Il est mort précocement à 38 ans, affaibli par le sida, comme l'autre grand dramaturge de sa génération Bernard-Marie Koltès.

Il a écrit entre autres les pièces Derniers remords avant l'oubli, Les Prétendants, J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne, Juste la fin du monde et Le Pays lointain.

Auteur et metteur en scène, il fonde le Théâtre de la Roulotte en 1978. Il met notamment en scène Marivaux, Labiche, Ionesco puis ses propres textes.

Il laisse une œuvre riche de plusieurs dizaines de pièces, un essai Théâtre et pouvoir en occident et plusieurs récits. Ses écrits sont redécouverts par les critiques et les metteurs en scène.

Le théâtre de Lagarce est centré sur le discours, les intrigues des pièces sont relativement minces. Son écriture procède par incises, les personnages reprennent sans cesse ce qu'ils viennent de dire en le modifiant. En voulant préciser les choses au maximum, le texte devient paradoxalement de plus en plus flou. Le théâtre de Lagarce interroge (entre autre) la capacité de tout un chacun à dire vraiment les choses. Il est au programme du Baccalauréat Théâtre (2007-2008) avec deux oeuvres : Juste la fin du monde et Nous, les héros.

1 commentaire:

  1. Anonyme08:44

    je te souhaite le prélassement le plus délassant...à cet après midi!

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Petites histoires infinies