chantée par le Choeur Symphonique de Birmingham.
Une pure merveille, surtout quand l'instrument et la voix se mélangent et se confondent.
Commencer l'année avec l'hymne à la joie est un privilège, que je voudrais partager :
Voici les paroles, pour la musique, il faudra imaginer...
Prenons en de la graine !
(traduction en dessous)
O Freunde, nicht diese Töne!
- Sondern laßt uns angenehmere
- anstimmen und freudenvollere.
- Freude!
- Freude, schöner Götterfunken
- Tochter aus Elysium,
- Wir betreten feuertrunken,
- Himmlische, dein Heiligtum!
- Deine Zauber binden wieder
- Was die Mode streng geteilt;
- Alle Menschen werden Brüder,
- (original de Schiller :
- Was der Mode Schwert geteilt;
- Bettler werden Fürstenbrüder,)
- Wo dein sanfter Flügel weilt.
- Wem der große Wurf gelungen,
- Eines Freundes Freund zu sein;
- Wer ein holdes Weib errungen,
- Mische seinen Jubel ein!
- Ja, wer auch nur eine Seele
- Sein nennt auf dem Erdenrund!
- Und wer's nie gekonnt, der stehle
- Weinend sich aus diesem Bund!
- Freude trinken alle Wesen
- An den Brüsten der Natur;
- Alle Guten, alle Bösen
- Folgen ihrer Rosenspur.
- Küsse gab sie uns und Reben,
- Einen Freund, geprüft im Tod;
- Wollust ward dem Wurm gegeben,
- und der Cherub steht vor Gott.
- Froh, wie seine Sonnen fliegen
- Durch des Himmels prächt'gen Plan,
- Laufet, Brüder, eure Bahn,
- Freudig, wie ein Held zum Siegen.
- Seid umschlungen, Millionen!
- Diesen Kuß der ganzen Welt!
- Brüder, über'm Sternenzelt
- Muß ein lieber Vater wohnen.
- Ihr stürzt nieder, Millionen?
- Ahnest du den Schöpfer, Welt?
- Such' ihn über'm Sternenzelt!
- Über Sternen muß er wohnen.
- La section finale répète :
- Freude, schöner Götterfunken
- Tochter aus Elysium/
- Seid umschlungen, Millionen!
- Diesen Kuß der ganzen Welt!
- Traduction
- Mes amis, cessons nos plaintes !
- Qu'un cri joyeux élève aux cieux nos chants
- de fêtes et nos accords pieux !
- Joie !
- Joie ! Belle étincelle des dieux
- Fille de l'Élysée,
- Nous entrons l'âme enivrée
- Dans ton temple glorieux.
- Tes charmes relient
- Ce que la mode en vain détruit ;
- Tous les hommes deviennent frères
- (original de Schiller :
- Ce que l'épée de la mode sépare;
- Les mendiants seront frères avec les princes)
- Là où tes douces ailes reposent.
- Que celui qui a le bonheur
- D'être l'ami d'un ami ;
- Que celui qui a conquis une douce femme,
- Partage son allégresse !
- Oui, et aussi celui qui n'a qu'une âme
- Sur la terre !
- Et que celui qui n'a jamais connu cela s'éloigne
- En pleurant de notre cercle !
- Tous les êtres boivent la joie
- Aux seins de la nature,
- Tous les bons, tous les méchants,
- Suivent ses traces de rose.
- Elle nous donne les baisers et la vigne,
- L'ami, fidèle dans la mort,
- La volupté est donnée au ver,
- Et le chérubin est devant Dieu.
- Heureux, tels les soleils volent
- Sur le plan vermeil des cieux,
- Courrez, frères, sur votre voie,
- Joyeux, comme un héros vers la victoire.
- Qu'ils s'enlacent tous les êtres !
- Un baiser au monde entier !
- Frères, au plus haut des cieux
- Doit habiter un père aimé.
- Tous les êtres se prosternent ?
- Pressens-tu le créateur, Monde ?
- Cherche-le au-dessus des cieux d'étoiles !
- Au-dessus des étoiles il doit habiter.
- La section finale répète :
- Joie ! Belle étincelle des dieux
- Fille de l'Élysée,
- Soyez unis êtres par million !
- Qu'un seul baiser enlace l'univers !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire